Une passion : la langue française.

Je suis tombée dans la marmite quand j’étais petite : il faut dire que je me délectais des dictées…

C’est ainsi que, après des années de secrétariat, j’ai découvert le métier – méconnu – de relectrice-correctrice.

J’ai vite compris qu’il ne suffit pas d’aimer le français (ou même d’avoir été professeur de français) pour pratiquer ce métier. Entre orthographe, grammaire, syntaxe (construction des phrases), typographie (ponctuation, majuscules, italique…), notre langue est truffée d’exceptions et de subtilités. Aussi ai-je effectué une formation au métier de correcteur (Centre d’écriture et de communication). Et les années d’expérience bonifient, affinent toujours plus la pratique.

Je me situe en région Rhône-Alpes, dans le beau département de la Drôme, à Crest, près de Valence, Montélimar, Romans. Ma zone d’activité n’est cependant limitée que par la langue française, car je travaille beaucoup à distance. Au plaisir d’écouter vos besoins et d’y répondre !

Catherine Grosso
à votre service depuis 2014

Qu'est ce qu'un correcteur professionnel ?

Objectif zéro faute

C’est le contrôleur qualité de tout texte destiné à publication ou diffusion. Sa lecture est minutieuse et approfondie : il repère les erreurs d’orthographe, de typographie (ponctuation, majuscules…) et de syntaxe (construction des phrases).
« L’esprit en alerte, l’œil acéré, le flair aiguisé, le correcteur traque les fautes de toute nature, de la bête coquille au subtil contresens en passant par la classique faute d’accord. » (Onisep)

Style et clarté

Mais ce n’est pas tout. Il vérifie également le sens et la cohérence du texte. Un oubli, une date erronée, une virgule ou un accent mal placé et le texte devient confus (un Louis XIV pour un Louis XVI…). Une perte de lisibilité qui génère une perte de crédibilité pour l’auteur, l’éditeur, le journal, l’entreprise.

Pourquoi faire appel à
un spécialiste de la correction ?

Un texte a toujours besoin d’un œil extérieur. Trop imprégné de son propos, l’auteur peut manquer de recul pour faire son autocritique. La langue, le contenu et la présentation doivent être assez précis et clairs pour satisfaire le lecteur, qu’il soit averti ou novice, et assez intéressant pour attirer et retenir l’attention.

Le correcteur professionnel intervient en tant que lecteur critique et sensible, ce qui n’est pas le cas d’un logiciel de correction qui ne repèrera pas les subtilités de la langue ou les contresens.

Contrairement au relecteur non professionnel,  c’est un spécialiste qui  a appris les règles et les codes du métier : l’orthotypographie, les signes conventionnels de correction.

L’œil peut voir tout un tas de choses sauf une chose : lui–même !

Proverbe